26 avril 2008
Portrait de l'auteur
En ce dimanche matin ensoleillé, pour moi le premier sur ce blog, je vous salue, frères et sœurs humains — et quand je dis humains, ce n’est pas à la manière de Max Aue, cet infâme quoique littéraire nazi, mais à ma manière à moi, qui sera aussi la nôtre : accompagnée d’un sourire amical, d’une poignée de main fraternelle, d’une invitation à prendre place à ma table et accepter le pain, le vin et l’hospitalité d’un Français du bas, c’est-à-dire d’un Français au-dessous de tout, en gros d’un moins-que-rien.
Mais d’abord, laissez-moi me présenter…
Michel Cornillon.
Né à une date dont on se fiche, en un lieu dont on se fout…
D’un père communiste et résistant, d’une mère qui n’a pas dit non, et qui l’a aimé.
Au cours de ma brillante carrière, je fus successivement :
Secrétaire, dessinateur, chef d’un bureau d’étude dont j’étais l’unique employé, puis maçon-écrivant, puis cadre-écrivain, chauffeur-livreur-écrivain, graphiste-écrivain, enfin… vous m’aurez compris… mille métiers mille plaisir… et le plaisir suprême de pousser vers la gloire un bloc de mots et de phrases qui vous retombe sur la cafetière chaque fois que vous voulez y planter, en manière de bannière, l’étendard d’un minuscule point (final).
Et me voici aujourd’hui plombier-cuisiniste-informaticien-ECRIVAIN-jardinier.
Carottes, choux, tomates, fontaines, un roman, deux romans, un discours…
Un discours que je vous invite à découvrir ici-même, après que vous vous serez assis à ma table.
Mais je ne voudrais pas vous gêner. Permettez-moi de regarder ailleurs le temps de votre découverte.
Un petit mot de vous, ensuite, comme un sourire, ça me fera plaisir.
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