Sciences-po et sexe, digression d’intello
Cette madame O-Baratte, mentalement, psychiquement, elle ne me lâche plus d’une pensée. Je ne sais si cela provient de son sexe, mais en tout cas ses yeux y sont pour quelque chose. Il y traîne un je ne sais quoi que je ne parviens à analyser. Quelque chose de pas net. Quelque chose, peut-être, qui en appelle au fouet. Alors c’est plus fort que moi, j’y retourne sans cesse.
Ce soir, posant sur elle un regard flottant, quasiment allumé, j’ai vu que la bande de fêtards occupée à se pochetronner au-dessus de sa photographie (allez revoir mon billet du 31/8), eh bien cette bande de vauriens de ch’tis, elle se marrait de son air coincé, et se marrait, et se marrait à s’en péter la rate.
Et même que leur conversation, elle devait rouler autour de ça : le coincement de la malheureuse, les mille et une manières d’y remédier.