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15 février 2009

Pour ne rien vous cacher

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famille124


au centre : Marie, épouse de mimi

à gauche, Raphaël, fils aîné de Mimi
à droite, Mimi
à leur pieds, le chien Gédéon, admiratif.
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Commentaires
E
Depuis que j'ai appris la terrible nouvelle, elle me hante et je reviens ici regarder ce beau jeune homme souriant, cette image, somme toute banale, d'un bonheur simple, comme nous en avons tous dans nos tiroirs, et qui, à la lumière de la tragédie n'a plus rien de banal. Il est là tout entier puisqu'on le voit même de dos dans le reflet de la fenêtre. Son sourire, ses yeux rieurs, même sa posture nous indiquent qu'il était heureux à cet instant. Je n'oublierai jamais son visage, car il m'apprend que j'ai certainement souvent été dans l'erreur lorsque je me mêlais de parler du suicide et que personne ne peut savoir ... <br /> Je partage ta douleur et vous souhaite à vous, ses proches, le courage de surmonter cette épreuve.
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C
Je ne sais pas si ça vaut quelque chose mais j'avais envie de vous dire que votre fils est magnifique. J'en serais tombée amoureuse c'est certain.<br /> <br /> Mes pensées vous accompagnent
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G
Michel, <br /> <br /> J'apprends, par Gaëlle, que je remercie ici, ce qui est arrivé à ton fils. Dans ce cas, on parle souvent de "perte", la psychanalyse a ajouté qu'il faut faire son deuil. Mais un être est et a toujours été un plus, et même s'il n'est plus là, il est là, puisque tout se passe dans notre tête, platonicienne. J'ai vécu en région parisienne, j'ai utilisé les transports en commun pour aller à Paris, pour me rendre sur mon lieu de travail, et j'ai ainsi pu apprendre qu'il y a une régularité importante de suicide sur les voies ferrées. Des élèves me l'ont dit un jour : c'est tous les jours monsieur. Mais pas un mot dans nos médias menteurs sur ce phénomène qui démontre depuis bien longtemps, bien avant "la crise", que notre communauté humaine était en crise. Pour nos Narcisses aveugles qui prétendent être à la tête de nos nations, la méthode Coué prévaut : ne rien sa-voir, faire comme si...<br /> <br /> Je n'ai jamais connu ton fils. Oui, il était beau comme un dieu, il est beau comme. Evidemment, il est très important que tu saches si sa mort est la conséquence de sa volonté ou non. Car mon expérience parisienne m'a aussi appris qu'il y aurait chaque année des morts, pris pour des suicides, alors que des personnes ont été poussées sur la voie par un imbécile criminel. <br /> <br /> S'il a choisi de mourir, c'était sa liberté souveraine. Il faut reconnaître, face à un suicide, même si c'est douloureux, que celui ou celle qui est parti a peut-être eu raison, contre le monde dans lequel il vit. <br /> <br /> Mais je ne sais rien de lui, de sa sensibilité, de ses pensées, de ses sentiments, de ses goûts. Il faudrait que tu nous parles de lui. Car désormais il vit en toi, définitivement. <br /> <br /> Du suicide, j'en ai parlé là : <br /> <br /> http://jeanchristophegrellety.typepad.com/lactionlitteraire/2007/04/souffrances_en_.html<br />
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B
Mes pensées!<br /> Courage!
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C
...<br /> Tellement redouté qu'il arrive et on se retrouve simplement soi-même . Indifférent aux commentaires .<br /> "Ils me l'ont tué "<br /> Mon Jesus<br /> Etais-je si sale ? Mon Dieu ?<br /> Trop gentil , certainement .<br /> <br /> A mon tour un jour ...<br /> <br /> Treize amicalement<br /> JPaul (suis là)
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